Est-il interdit de gifler son enfant?
Explications. Une « gifle qui part toute seule », une punition « excessive », une « tape sur la main », une grosse colère… Ces pratiques, également appelées violences éducatives ordinaires, sont interdites par la loi, mais elles ne sont pas passibles de sanction, rappelle Paris-Normandie.
Comment faire pour voir mon fils?
Sauf cas exceptionnel, le parent qui n’a pas la garde de son enfant a un droit de visite de son enfant après une séparation. Lorsque les parents ne sont pas d’accord sur les modalités ou sur l’existence même d’un droit de visite, c’est le juge aux affaires familiales qui intervient.
Comment empêcher un père de voir son fils?
Dans ce cas, le juge aux affaires familiales doit trancher et confier la garde de l’enfant à l’un des deux parents ou proposer un mode de garde alterné. Cette décision tient compte de plusieurs critères tant financiers que familiaux. Il convient avant tout de préserver l’enfant dont il est question.
Combien de parents avouent donner des gifles à leur enfant?
Plus de 8 parents sur 10 avouent donner des gifles ou des fessées à leur enfant. Ces comportements, lorsqu’ils sont répétés, peuvent avoir de sérieuses conséquences.
Pourquoi la gifle n’est pas honteuse?
Mais la gifle n’est tellement pas dans leurs habitudes qu’ils la regrettent aussitôt. « La plupart se sentent honteux, note Elisabeth Maheu*, formatrice en régulation des conflits. Ils savent que c’est une erreur. » Et la culpabilité ne va rien arranger. « Ils n’ont pas cédé à ce geste par hasard, poursuit-elle.
Est-ce que l’enfant est indifférent à la douleur?
L’état de dissociation donne l’impression que l’enfant est indifférent à tout ce qu’il peut lui dire et lui faire, qu’il résiste à la douleur, et qu’il ne veut rien comprendre. Le parent interprète la sidération et la dissociation comme un défi.